Le festival du théâtre de rue est l’un des derniers grands événements culturels de l’été. Comme les autres, il sera une tribune pour lesintermittents du spectacle en colère. À la veille du début des festivités, la coordination des intermittents distribuait des « Kits de lutte » et d’information.
Nous, chômeurs, intermittents, intérimaires, précaires, occupons ce mercredi 18 juin depuis 6h30 le chantier de la Philharmonie de Paris. Chantier pharaonique dont la réalisation à été confiée à Bouygues. Onze d’entre nous ont accroché deux banderoles au sommet qui se voit encore depuis le périphérique. Sur ce chantier, nous sommes allés à la rencontre de nombreux travailleurs roumains, slovaques, polonais, espagnols, portugais, allemands, belges, avec ou sans papiers, intérimaires pour beaucoup d’entre eux. Ils nous ont fait part de leurs conditions de travail proches de l’esclavage, comme des ouvriers polonais payés 4€ de l’heure.
Centre d’information de la culture et du spectacle vivant en europe présente
Ce jeudi 13 mars 2014, à l’appel de la Coordination des Intermittents et Précaires, la CGT Spectacle, la CGT Interim, Sud Culture, Sud Interim, AC, CNT, SIPM-CSRP et le SYNDEAC, une centaine de chômeurs et salariés précaires, intermittents et intérimaires, ont mené des actions dans le cadre des négociations de la nouvelle convention UNEDIC.
Après avoir déroulé une banderole sur la façade de l’église de la Madeleine à Paris, réclamant des droits nouveaux pour les salariés précaires, nous avons occupé les locaux de la Cour des Comptes.